Statuette Statue de Marie qui défait les nœuds
Hauteur: 30 cm - Matière: Poly résine
Pays d'expédition: France
Prière
Vierge Marie, mère dont les mains travaillent sans cesse pour tes enfants bien-aimés, car elles sont poussées par l'amour divin et l'infinie miséricorde qui débordent de ton cœur, tourne ton regard plein de compassion ver moi.
Vois le paquet de nœuds qui étouffent ma vie.
Marie, mère que Dieu a chargé de défaire les nœuds de la vie de tes enfants, je dépose le ruban de ma vie dans ta mains où il n'y a pas un seul nœud qui ne puisse être défait.
Mère toute puissante, par ta grâce et par ton pouvoir d'intercession auprès de ton fils Jésus, mon libérateur, reçois aujourd'hui ce (nœuds)
Pour la gloire de Dieu, je te demande de le défaire pour toujours. J'espère en toi. Accueille mon appel.
Garde moi, guide-moi, protège-moi.
Tu es mon refuge assuré.
Marie qui défait les nœuds, prie pour moi.
Tu es mon refuge assuré.
Marie, toi qui défais les nœuds, prie pour moi.
L’histoire de la dévotion à Marie qui défait les nœuds commence en Allemagne, en 1615. Un jeune couple marié depuis 3 ans est en crise et envisage sérieusement de divorcer. Avant de prendre une décision définitive, les époux décident de rendre visite à un père jésuite autrichien, Jakob Rem, pour lui demander conseils et prières. La femme lui remet leur ruban de noce auquel elle a fait un nœud chaque fois qu’ils se sont disputés.
Le père Jakob, habité par une grande dévotion mariale, prie pour eux devant le tableau de Notre-Dame des Neiges. Le ruban entre ses mains, il supplie la Vierge de dénouer les nœuds. Tout à coup, il voit les nœuds se défaire miraculeusement jusqu’à ce que le ruban redevienne parfaitement lisse. Les époux se réconcilient et vivent un heureux mariage jusqu’à la fin de leurs jours.
En 1700, le père Jérôme Ambroise Von Langenmantel, prêtre et petit-fils du couple, commande un tableau en mémoire de ce miracle et afin de renforcer la dévotion à la Sainte Vierge. L’œuvre réalisée représente Marie dénouant les nœuds, deux anges l’entourant et portant le ruban. Elle s’intitule : “Marie, celle qui défait les nœuds”.